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Affichage des articles du décembre, 2018
PRESIDENTIELLE DU 24 FEVRIER 2019 L’Apr de Pikine prépare ses parrains à une victoire certaine au 1 er tour Le mouvement « And dollèle Siré Dia Fallaat Macky Sall au 1 er tour » a battu le rappel des troupes, samedi dernier, à Pikine lors d’un rassemblement politique. Objectif : Persuader les parrains de leur bon choix porté sur le président de la République sortant et les préparer à une victoire certaine de la coalition Benno Bokk Yakaar au soir du 24 février 2019. « Après un travail de collecte de parrainages bien réussi partout au Sénégal et dans la diaspora, il nous faut nous assurer que les parrains ne vont pas changer d’avis de vote », a expliqué Mamadou Abdoulaye Diakhaté, agent à la Poste de Pikine. Selon lui, la tâche ne devrait pas difficile à priori. « Le Président Macky Sall peut compter déjà sur son bilan pendant les sept ans passés à la tête du pays. « Au niveau local, à Pikine, on note avec beaucoup de satisfaction l’érection de l’arène nationale, sans compter D
LE NOUVEAU PROJET DE CODE PETROLIER PASSE A LA LOUPE Le Forum Civil tombe sur un gisement de manquements Le nouveau projet de Code pétrolier, tel que présenté pour son vote à l’Assemblée nationale, « expose à des risques d’incohérence, de manipulation, de doubles standards, voire de corruption », constate le Forum Civil, section sénégalaise de Transparency International. Birahim Seck et Cie, qui ont scruté le document à la loupe, y décèlent de nombreux points « essentiels » pour ne pas dire « critiques » renvoyés aux contrats pétroliers.   Si pour le Forum Civil, section sénégalaise de Transparency International, le nouveau projet de Code Pétrolier (CP) présente des progrès substantiels par rapport à celui de 1998, il n’en estime pas moins que ce texte de loi demeure « largement perfectible ». Et ce, particulièrement dans les domaines relatifs aux questions fiscales, de contrôle de la production et sur l’environnement notamment. En effet, le Forum Civil se réjouit que le n
      GESTION DE L’AUTOROUTE A PEAGE AU SENEGAL Le Collectif des usagers verbalise l’Etat et envoie à la casse Eiffage-Senac Le Collectif citoyen des usagers de l’autoroute à péage dénonce avec vigueur une « soi-disant » baisse des tarifs qu’il assimile à une « énième arnaque » de la société Eiffage-Senac. Réunis, hier à Dakar, ses membres en appellent à la mobilisation et réclament la publication du nouveau contrat de concession négocié par l’Apix au nom des contribuables sénégalais. Le Collectif citoyen des usagers de l’autoroute à péage (Ccuap) fonce sur l’Etat du Sénégal et la société d’exploitation Eiffage Senac. Ses membres qui sont aujourd’hui noirs de colère se sont rendus compte que les nouveaux tarifs négociés entre les deux parties concernent uniquement les sorties de Sébikotane et celle de Toglou. Et de surcroit, cette diminution de 1000 Fcfa aura pour conséquence la prolongation du contrat de concession de 25 ans à 35 ans. « Une énième arnaque de la société Eiffage
VAINCRE SON HANDICAP ET REUSSIR DANS LA VIE Mbaye, Khady et Isseu, ces figures iconiques du Centre Talibou Dabo De par leurs parcours respectifs, couronnés de succès, Mbaye Djily Mbaye, Khady Mbaye et Dr Isseu Sall sont la preuve vivante que le handicap n’est pas une fin en soi encore moins synonyme de mendicité. Naître handicapé moteur ou le devenir ne saurait être un prétexte pour se laisser regarder de haut ou s’avouer vaincu dans la vie. Cela est plutôt un motif de révolte légitime pour déconstruire le paradigme en vigueur dans nos sociétés africaines selon lequel « l’handicapé n’est bon à rien, sinon pour aller faire la rue ». C’est une hypothèse qu’il faut battre en brèche pour ce qu’elle est fausse. En cela, le centre Talibou Dabo est un modèle achevé de retrait des enfants de la rue et fait en sorte que les enfants qui, d’emblée présentés un handicap et dont on disait qu’il n’avait pas le potentiel pour suivre les cours, de mettre un terme à ces idées reçues et de
VEHICULES AMORTIS, MANQUE DE KINESITHERAPEUTES, CHARGE ALIMENTAIRE… Ces autres handicaps du Centre Talibou Dabo Ses bâtiments flambant neuf forcent le regard des passants. Pourtant, le décor rutilant qu’ils renferment est sans égal. Le centre Talibou Dabo est un joyau digne de ce nom. Mais ceci n’est que la partie visible d’un chef d’œuvre car le centre qui accueille 200 enfants en son sein n’est pas exempt de difficultés de divers ordres. Talibou Dabo a un problème de transport de ses pensionnaires, provenant pour certains de contrées lointaines comme Ouakam, Diamniadio, faute de véhicules adaptés. Le centre ne compte cinq bus dont certains datent de 1982. Leur mise en circulation crève le budget du centre à cause des multiples réparations. Le pire est que ces véhicules ont fini par s’apparenter à des tombeaux roulants ; et le plus flippant c’est qu’ils transportent des mômes. « S’il n’y a pas de bus, pas de cours au centre », soutient le Directeur du centre, Mademba Sow pou
EVALUATION DE SES ENGAGEMENTS VIS-A-VIS DU CENTRE Le ministre Diouf Sarr noté par Talibou Dabo Contrairement à ce qui est dit, le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr aurait eu la meilleure note de la classe s’il devait être évalué par l’administration du Centre Talibou Dabo. Le successeur du Prof Awa Marie Coll Seck avait pris en 2017 cinq engagements vis-à-vis du centre qu’il a tous réalisés aujourd’hui, selon le Directeur Mademba Sow.  Suite aux critiques essuyées par le ministre de la Santé et de l’Action sociale qui n’aurait pas tenu ses promesses faites au Centre Talibou Dabo, le directeur de la structure en question est monté au créneau pour s’inscrire en faux contre de telles allégations. « C’est grotesque », martèle d’emblée Mademba Sow qui faisait face à la presse, samedi dernier, après une visite guidée des locaux dudit centre. M. Sow et le reste du personnel présent lors de cette rencontre pensent que le ministre Abdoulaye Diouf Sarr est
OPINIONS La lente agonie du système sanitaire sénégalais (Docteur) Le blackout observé par les pouvoirs publics sur la longue grève de l’Alliance des syndicats de la Santé (AND GËSSËM) traduit, en tout premier lieu, le peu de considération, dont ils font montre à l’égard des revendications des travailleurs de la Santé et de l’Action sociale.  Cette grève-marathon avait été entamée depuis le mois d’Avril dernier, face à ce que les syndicalistes considèrent comme une mauvaise volonté du gouvernement à revaloriser leurs indemnités, comme il l’a fait pour d’autres corps de métiers (médecins, enseignants, travailleurs de la Justice...). Elle a mis à nu une des tares fondamentales de notre système sanitaire, à savoir son incapacité à anticiper sur des crises imprévues comme une aggravation brusque du climat social, poussant d’importantes franges du personnel socio-sanitaire à une radicalisation extrême. Par ailleurs, si on prend en compte le fait, que ces mots d’ordre syndicaux a
  HÔPITAL ALBERT ROYER DE DAKAR Le Professeur Ngom annonce le décès d’une des sœurs siamoises Une des sœurs siamoises séparées à l’hôpital Albert Royer est décédée, dans la nuit de samedi 22 décembre 2018. Joint par nos soins, le Professeur Gabriel Ngom qui avait dirigé l’opération et « réussi » la séparation des deux sœurs confirme le décès et explique qu’il il s’agit du bébé qui présentait un dysfonctionnement cardiaque. Elle est décédée des suites d’une hémorragie.
AFFAIRE DE CORRUPTION PRESUMEE Cheikh Tidiane Gadio livre sa « part de vérité » sur ses démêlés judiciaires aux USA L’ancien ministre sénégalais des Affaires étrangères, Dr Cheikh Tidiane Gadio, rentré il y a quelques jours des Etats-Unis d’Amérique après y avoir vécu une « dure épreuve » judiciaire de près d’un an, suite à une présumée affaire de « corruption » et de « blanchiment d'argent » dont il a fait l’objet de poursuites, a révélé vendredi 21 décembre 2018 à Dakar avoir été totalement « blanchi » de ces accusations malgré tout ce qui a été raconté sur son dos par une « infime partie » de la presse sénégalaise. « Il n’y a aucun deal concernant ma libération. J’ai été totalement blanchi », a dit d’emblée M. Gadio, 62 ans, au cours d’un point de presse organisé dans le siège de l’Institut Panafricain de Stratégies (IPS), qu’il préside, et où il s’est exprimé pendant plus d’une heure trente à propos du dossier judiciaire qui l’avait retenu aux États-Unis du «
CHARCUTEE PAR SA CO-EPOUSE : Oumou Diop et son avocat ne partagent pas la même peine Déçue, Oumou Diop, du nom de la femme charcutée par sa co-épouse trouve la sentence prononcée, mardi dernier, des plus douces pour celle qui méritait d’endurer les pires supplices de la vie pour avoir commis pareil acte. Un point de vue que ne partage pas l’avocat de la partie civile.   Me Bocar Arfang Ndao magnifie plutôt l’exemplarité de la peine infligée à Salimata Diaw.     Le dossier Oumou Diop, du nom de la femme charcutée par sa co-épouse, a été vidé ce mardi au tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye. Condamnée à 5 ans de prison ferme, la mise en cause, Salimata Diaw, doit aussi payer 3 millions de francs Cfa à titre de dommages et intérêts à la victime. Là où le parquet avait demandé la somme de 200 mille francs Cfa d'amende. Mais, Oumou Diop n'est pas contente de la peine de 5 ans infligée à sa co-épouse. Jointe au téléphone par Seneweb, elle déclare : «