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Affichage des articles du décembre, 2019
LE VIOL ET LA PÉDOPHILIE DEVIENNENT DES CRIMES  Le cadeau de nouvel an de Macky aux femmes et aux mineur(e)s Le nouvel an s’annonce sous d’heureux auspices pour les femmes et les mineur(e)s au Sénégal. Ils viennent de bénéficier d’une bien meilleure protection avec le vote ce lundi à l’Assemblée nationale de la loi criminalisant désormais les actes de viol et de pédophilie.    Férus de la chair fraiche et désaxés sexuels sont avertis. Désormais tout acte de viol ou de pédophilie établi sera l’objet de lourdes sanctions pénales, et ceci sans possibilité de remise de peine. L’Assemblée nationale a voté ce lundi à l’unanimité et par acclamation le projet de loi criminalisant les actes de viol et de pédophilie. D’après l’Agence de presse sénégalaise qui le constate, ce projet de loi avait d’abord été adopté en Conseil des ministres le 27 novembre dernier. Il s’agit d’une loi modifiant celle du 21 juillet 1965, portant sur le Code pénal, relative notamment aux chapitres vi
TÉMOIGNAGE Abdourahmane CAMARA, La Figure Absolue Du Professionnalisme (Par Mademba NDIAYE) Cette photo de notre dixième promotion pour se souvenir Triste nouvelle avec le décès de mon ami le journaliste El Hadj Abdourahmane CAMARA de Wal Fadjri. La figure absolue du professionnalisme, de l’humilité et de la fidélité dans la profession. Y a-t-il eu dans le monde un journal, mis sur le marché et retiré moins de 2 heures après et détruit simplement parce qu’il y avait une fausse information? Eh bien nous l’avons fait à Walf en 1989 sous l’impulsion d’Abdourahmane CAMARA ! Intégriste de la déontologie! La méticulosité et l’intransigeance d’Abdourahmane sur le respect des principes déontologiques sont légendaires. Aucun compromis sur l’éthique. Avec Tidiane KASSE nous étions le trio de journalistes de la même 10e promo du CESTI autour de Sidy Lamine NIASSE pour commencer l’aventure professionnelle de Wal Fadjri dans la Medina, travaillant sous les bougies parfois et martyrisan
PARCOURS  Pleine de vie à 46 ans, Soukeyna ou la preuve qu’on peut survivre au virus du Sida    Photo d'illustration  Diagnostiquée séropositive en 2005, l’aide-infirmière Soukeyna Ndiaye, 46 ans, incarne le combat contre la «stigmatisation» et la «victimisation». Depuis 14 ans déjà, elle participe à plusieurs activités pour le compte du Réseau national des associations de personnes vivant avec le VIH (RMP+) dans le but de redonner le sourire aux séropositifs du Sénégal. Joyeuse, sociable et endurante, Soukeyna Ndiaye est sollicitée de partout. Emmitouflée dans un boubou taille basse «Wax», foulard bien nouée à la tête comme une bonne Sénégalaise, la présidente de RMP+ termine son panel avant d’aller au bar prendre un café pour se réchauffer le ventre. Sur place, la retrouve Dr Mamadou Sakho, conseiller régional de l’ONU-Sida, qui lui donne une tape amicale dans le dos avant de saluer «une dame courageuse». «J’ai été dépistée positive du Sida en 2005 quand j’ai a